Le père paret : sites catholiques




l'avenir des paroisses en france
Faute d'un entretien satisfaisant venant des municipalités qui en sont responsable, plus de 5000 églises sur les 40000 que dénombre la france risquent beaucoup de être rasées dans les années à venir. Il faut remarquer que les villages n’ont pas toujours les moyens bancaires de maintenir leur église, malgré qu'elle n’est pas importante. De même, quelques agglomérations qui dénombrent les dizaines de très beaux monuments, ne sont capables de généralement assurer seules la maintenance et les travaux. La france est l'une des nations qui compte le plus grand nombre de bâtiments clérical, et c’est de façon globale que les frais de restructuration est très important. Cet incident s'emploie de la même façon à les très nombreux châteaux et manoirs.

Toutefois, un grand nombre de communes restaurent de façon conséquent leurs paroisses. Citons par exemple la cité de Écouen qui en 2010 clôt les imposants travaux de modernisation intérieure du église saint acceul, édifice connu pour son architecture ( jean bullant ) mais avant toute chose pour ses rosaces. Le coût de ce projet de construction est réputé à environ 1, 5 million d'euros ( financé en partie par le État ).
Certaines communes, organisent dans leur paroisse, en plus des messes, des événements laïques, comme des festivals d'orgue ou d'autres accessoires de époque.
Ces célébrations permettent en général de faire venir un nouveau public dans les églises, voire de financer une partie de l'entretien. Ces exploitations détournées sont régulières sur le territoire français, certaines communes effectuant même la sélection de reconvertir les monuments théologique en centre culturel.
Les églises reconnues pour leur architecture ou leur décoration intérieure sont capables de générer un voyage, et ainsi un dynamisme économique, à même de simplifier l'entretien. Mais tous les bâtiments théologique ne sont capables de prétendre à un grand voyage, ce qui n’aide pas leur restructuration.



architecture médiéval
Ce sont les italiens de la renaissance qui ont nommé gotico flamboyant ce genre à l'origine nommé francigenum opus ( ou opus modernum ) , mot à mot œuvre française, c’est-à-dire manière de bâtir en Île de france. Le mot flamboyant est semble-t-il utilisé pour la 1er fois par l'artisan peintre raphaël vers 1518 dans un rapport à le pape léon x sur le maintien des monuments primitives : raphaël considère que les arcs en ogive de l'architecture gothique rapellent le galbe des arbres réalisant les cabanes primitives des citadins des forêts d'allemagne - un mythe qui revenira chez les romantiques - et fait référence, de façon neutre, à l'art médiéval du ve siècle, nommant par contre le francigenum opus flamboyant sous le terme art tudesque1. Gothique est ensuite repris dans un certain point de vue négatif par le critique d'art giorgio vasari en 1530, faisant lui référence à la sacoche de rome par les sanguinaire goths. L'art médiéval était ainsi le œuvre de barbares pour les italiens de la renaissance, car il aurait résulté de l'oubli des stratégiques et des canons esthétiques gréco-romains. L'art médiéval a aussi été intensément critiqué par des auteurs français comme boileau, la bruyère ou jean-jacques rousseau, avant de devenir réhabilité par des architectes comme francesco borromini ou jan blažej santini-aichel inventeur du style baroque gothique

La plupart des archéologues et des homme d'histoires de l'art réfutent ce jugement et montrent que, vis à vis de l'art roman qui la devance, l'architecture médiéval n’est pas tant une séparation qu'une évolution.





l'architecture moderne

On nomme récentes les paroisses bâties en france à partir des années 1920, après les démolitions de la première guerre mondiale, notamment. Les maître d'oeuvres réitèrent le sujet, proposent des innovations tout en prenant soin du respect des normes cléricales. Certaines paroisses sont issues de la circulation d'urbanisation des métropoles, le Église catholique souhaitant que des monuments de pières soient à le plus près des populations : le Église notre-dame du raincy par auguste perret est l'une d'entre elles.