La paroisse du père paret : chat catholique
l'avenir des paroisses en france
Faute d'un entretien suffisant de la part des mairies qui en sont responsable, plus de 5000 paroisses sur les 40000 que dénombre la france encourent un risque important de être rasées dans les prochaines années. Il faut noter que les villages ne disposent pas toujours des moyens financiers d'entretenir leur église, bien qu'elle n’est pas imposante. De même, quelques agglomérations qui dénombrent les dizaines de très beaux édifices, ne sont capables de communément assurer seules l'entretien et les travaux. La france est l'un des états qui compte le plus de édifices clérical, et c’est de façon globale que les frais de rénovation est particulièrement élevé. Ce problème s'emploie de la même façon à le grand nombre de châteaux.
Certaines communes, organisent dans leur paroisse, en plus des offices cléricaux, des événements laïques, comme des festivals d'orgue ou d'autres instruments de époque.
Ces petites festivités donnent la possibilité fréquemment d'attirer un nouveau public dans les paroisses, voire de financer un élément de la maintenance. Ces exploitations déroutées sont régulières en france, quelques villes effectuant même le choix de reconvertir les bâtiments clérical en centre culturel.
histoire du gotisme
Le style gothique se montre principalement en haute picardie6 et en Île-de-france, les tous premiers locaux protogothiques venant à le monde dans la région francilienne. La plus grande hypothèse afin d'expliquer ces lieux d'apparition francilien et picard est qu'il sont essentiellement habités à cette période de bâtiments paléochrétiens, particulièrement de grandes églises à murs fins, charpentées et percées plusieurs baies. Ces zones sont donc déjà préparées à les éventail stratégiques et esthétiques du gothique. Par ailleur, elles voient l'arrivée des capétiens et la stabilisation du État qui, au fure et à mesure de l'annexion des fiefs féodaux, dicte comme signe du gouvernement royal le reconduction de ces édifices. Pour finir, elles sont au bord de régions énergiques à le niveau des inventions architecturales : la bourgogne , la normandie qui fait venir la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre ( abbaye de jumièges, abbaye de lessay ). Lieu de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france voient les 1ers maîtres flamboyants abréger toutes ces influences.
lieu de mise en place
Les premières paroisses, à le époque de la clandestinité, c. -à-d. Avant l'ive siècle, étaient des maison-églises, c’est-à-dire une pièce destinée dans la demeure d'un millionnaire chrétien. Parfois, des catacombes, quand-t-elles commencèrent à être réalisées, notamment à rome.
Dans les villes romaines, après la chute des cultes polythéistes, les évêques s'efforcèrent de faire les emplacements de pières à le christ à le lieu de temples ou d'adulateur. Dans les meilleurs domaines fonciers, les chapelles devinrent pas à pas des églises paroissiales.
Habituellement, quand on décidait de construire une église :
On avait opté un saint protecteur de ce édifice ( le saint protecteur ) ; ce choix était communément le principe du patron temporel du église, sur le domaine duquel le église allait être construite : le pontife, un propriétaire, et des abbayes ;
Pour les plus imposantes églises, à le travers du milieu du moyen-Âge, à le lieu qui serait la croisée des transepts, on plantait un grand mât ; à l'aube, le jour de la fête du saint patron ( si cette fête se célébrait avant le solstice de été ) ; sinon, en soirée, la journée de cette même fête ( si cette fête se célébrait après le 21 juin ) , on notait l'ombre portée par le mât : l'orientation de cette ombre définissait le pivot est-ouest, nommé decumanus chez les romains. D'autres tâches allaient suivre ; tracé du cercle dans lequel s'inscriraient les quatre piliers du transept, retracé du cercle définissant le refuge, signification de la nef.