Le père paret : christian liaigre catalogue
l'avenir des paroisses en france
Faute d'un entretien satisfaisant à le nom des municipalités qui en sont responsable, plus de 5000 églises sur les 40000 que compte la france risquent fortement de devenir rasées dans les années à venir. Il faut noter que les villages ne disposent pas toujours des ressources financiers d'entretenir leur paroisse, même si elle n’est pas conséquente. De même, quelques grandes villes qui comptent les dizaines de superbes édifices, ne peuvent habituellement garantir seules la maintenance et les chantiers. La france est l'un des états qui dénombre le plus de locaux religieux, et c’est de façon complète que les frais de restauration est très important. Ce problème s'applique de la même manière à les très nombreux châteaux.
Il n’y a pas de vraie inventaire des bâtiments cultuels en france. L'observatoire du patrimoine religieux en évalue le nombre à dix mille sur la base d'une moyenne de 2, 5 monuments dans chacune des 36000 communes.
Quelques villes, animent dans leur église, outre les offices religieux, des événements séculiers, telque des concerts d'orgue ou d'autres accessoires de époque.
Ces célébrations offrent la possibilité communément de faire venir un nouveau public dans les paroisses, voire de payer un élément de la maintenance. Ces exploitations déroutées sont régulières en france, certaines villes effectuant même le choix de reconvertir les locaux clérical en cœur culturel.
orientation
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le bâtiment de la paroisse était adapté à une prière collectif dirigée vers l'est ( c’est ce qu'on a nommé la direction — il s'agit là de la racine de ce mot ). Car l'attente du soleil levant est un trait principal de la prière et de la spiritualité chrétiennes. à présent cette culture est maintenue dans le Église d'orient. De même, le soleil veut dire d'abord lumière et lumière démesuré et d'après st eusèbe d'alexandrie, les chrétiens jusque à le ve siècle chérissaient dieu la figure tourné vers le soleil levant. Le soleil montant étant très souvent comparé à un oiseau. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le lever de la journée, et nos clochers chrétiens emportent encore cet oiseau qui constitue la vigilance du âme en patientant la deuxième débarquée du christ, l'apparition de l'imposante aurore1. Le coq est bien entendu généralement montré grâce à les accessoires de la passion.