Le père paret : eglise.catholique.fr
conversion des églises
à la suite des défauts de ressources financiers ou alors pour des raisons politiques, les églises sont parfois reconvertis en bâtiments avec des fonctions différentes ou pour une autre religion, on peut calculer des exs remarquables de église transformé en mosquée en bulgarie pendant tout le temps de la découverte ottomane et en bibliothèque ou studio ou appartement à le québec.
histoire du gotisme
La forme flamboyant apparaît fondamentalement en forte picardie6 et en Île-de-france, les tous premiers monuments protogothiques venant à le monde dans la région francilienne. La principale supposition pour expliquer ces lieux d'apparition francilien et picard est que sont ils principalement peuplés à cette époque de bâtiments paléochrétiens, particulièrement de grandes églises à muretins fins, charpentées et percées plusieurs baies. Ces secteurs sont ainsi déjà préparées à les éventail stratégiques et décoratifs du flamboyant. D'autre part, elles assistent à l'apparition des capétiens et la stabilisation du État qui, à mesure de l'annexion des fiefs féodaux, dicte comme signe du pouvoir royal le reconduction de ces bâtiments. Naturellement, elles sont à la limite de régions énergiques à le niveau des inventions architecturales : la bourgogne ( arc brisé inventé à l'abbaye de cluny, arc-boutants conçus à cluny et vézelay ) , la normandie qui importe la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre. Emplacement de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france voient les premiers maîtres flamboyants récapituler toutes ces influences.
orientation
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le édifice de la paroisse était adéquat à une prière d'ensemble dirigée vers l'est. Car l'attente du soleil levant ( signe du christ ressuscité ) est un trait principal de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Actuellement cette culture est gardée dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie d'abord lumière et lumière inouï (. . . ) et d'après saint eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle adoraient dieu le visage tourné vers le soleil levant. Le soleil montant étant très souvent comparé à un oiseau. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le soulever du jour, et nos clochers chrétiens portent encore ce volatile qui constitue la précaution du âme en patientant la deuxième débarquée du christ, l'apparition de la grande aurore1. Le coq est d'ailleurs en général représenté grâce à les accessoires de la passion.