La paroisse du père paret : liaigre christian





histoire des cathédrales en france
D'unité et de structuration civile.

À la fin du xiiie siècle, les travaux de ces immenses mise en places tard sorties de terre n’arrivèrent pas à leur développement final ; ils se éteignirent tout d'un coup ; si les grandes églises furent achevées, ce ne fut plus que par les sacrifices personnels de prélats ou de chapitres qui utilisèrent leurs propres biens en vue d'achever ce que la foi et l'emportement de toute une population avaient permis de démarrer. Rares sont les grandes églises qui aient été closes comme elles avaient été projetées ; et cela se comprend : la période pendant laquelle leur quotidien est en quelque sorte un besoin impératif, l'expression d'un souhait irrésistible, est comprise entre l'an 1180 et 1240. 60 ans. Ce qui surprend à présent, c’est qu'en un temps aussi court on ait pu obtenir, sur un territoire aussi grand, des retombées également interloquants ; car ce n’était pas seulement des tactiques qu'il a fallu trouver, mais des centaines d'artistes qui, la plupart, étaient des individus dont l'aptitude dans l'exécution des œuvres est pour nous actuellement un fond d'emballement.

À la mort de philippe-auguste, en 1223, les principales grandes églises -peu sont achevées- comprises en question royal étaient celles de sens, de la capitale, de chartres, de bourges, de noyon, de laon, de soissons, de meaux, d'amiens, d'arras, de cambrai, de rouen, de Évreux, de sées, de bayeux, de coutances, du mans, d'angers, de poitiers, de tours ; or tous ces diocèses avaient rebâti leurs cathédrales, dont les constructions étaient très avancées. Si beaucoup de diocèses sont politiquement mariés à le domaine royal, et s'en reconnaissent vassaux, leurs cathédrales se élèvent rapidement sur des plans nouveaux, comme celles du territoire français; les diocèses de reims, de châlons, de troyes en champagne, sont les 1ers à suivre le déplacement. En bourgogne, ceux d'auxerre et de nevers, les plus proches du domaine royal, reconstruisent leurs cathédrales ; ceux d'autun et de langres, plus espacés, conservent leurs anciennes paroisses élevées vers le centre du xiie siècle.


À le décès de philippe le bel, en 1314, le domaine du roi s'est étendu : il a englobé la champagne ; il possède le languedoc, le marquisat de provence ; il tient l'auvergne et la bourgogne parmi ses provinces. Montpellier, carcassonne, narbonne, la capitale des gaules, exécutent dans leurs grandes églises du chantier colossals et essaient de les réformer. Clermont en auvergne, cherche à faire pareil. Les provinces anglaises et la provence, seules, résistent.






Une église est un local religieux dont le but essentiel est de simplifier le regroupement d'une communauté chrétienne. Il s'agit de l'essentiel édifice de ce type de la paroisse dans la christianisme. Les locaux qualifiés de chapelles sont souvent privés, comme la chapelle d'un château fort, ou destinés à une communauté théologique, par exemple un monastère. Le église réside dans un édifice dédié à la prière et à les pratiques commmunautaires des catholiques. Particulièrement, la messe est, par exemple, dite dans une paroisse par le prêtre, dans la religion catholique et l'orthodoxie. Dans le protestantisme, le même édifice ayant la même fonction est au niveau historique appelé le temple et non pas le église, le terme étant principalement retenu en vue de nommer le société, ou bien la communauté des catholiques.




tournant
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans toute l'europe chrétiens, le bâtiment de la paroisse était propre à une prière communautaire dirigée vers l'est ( c’est ce qu'on a connu sous le nom de l'orientation — c’est là la racine de ce mot ). Car l'attente du soleil levant est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Actuellement cette tradition est maintenue dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie d'abord clarté et clarté suprême et d'après saint eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle avaient aimé dieu la figure tourné vers le soleil levant. Le soleil montant étant assez souvent comparé à un volatile. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le lever de la journée, et nos clochers chrétiens portent encore ce volatile qui constitue la précaution de l'esprit en patientant la seconde venue du christ, la naissance de l'imposante aurore1. Le coq est d'ailleurs communément représenté grâce à les accessoires de la passion.