Le père paret : credo catholique
histoire des grandes églises en france
D'unité et de développement civile.
Les grandes cathédrales se élèvent à la fin du xiie siècle à sens noyon, laon, reims, amiens, saint-denis, le mans métropoles qui toutes avaient, les premières, donné le signal de la délivrance des communes; dans la ville-capitale du Île-de-france, centre de l'autorité monarchique, paris; à rouen, cœur de la meilleur province conquise par philippe auguste; à liège, capitale de la principauté de liège.
À la mort de philippe le bel, en 1314, le domaine royal s'est déployé : il a englobé la champagne ; il contient le languedoc, le marquisat de provence ; il tient l'auvergne et la bourgogne parmi ses provinces. Montpellier, carcassonne, narbonne, lyon, exécutent dans leurs grandes églises du chantier considérables et essaient de
À la mort de charles v, en 1380, les anglo-saxon ne possèdent plus que bordeaux, le cotentin et calais ; mais la résine est surmenée : les grandes églises dont la restructuration ne fut jamais commencée durant le xiiie siècle demeurent ce qu'elle étaient ; celles demeurées pas terminées se finissent avec difficulté.
histoire du gotisme
La forme moyenâgeux se montre essentiellement en forte picardie6 et en Île-de-france, les tous 1ers édifices protogothiques venant à le monde dans la région francilienne. La principale hypothèse afin d'expliquer ces lieux d'apparition francilien et picard est qu'il sont essentiellement habités à cette période de locaux paléochrétiens, particulièrement de cathédrales à murets achèvements, charpentées et percées plusieurs baies. Ces régions sont donc déjà préparées à les assortiment stratégiques et décoratifs du flamboyant. D'autre part, elles assistent à l'avènement des capétiens et la consolidation du État qui, au fure et à mesure de l'incorporation des fiefs féodaux, impose comme signe du gouvernement royal le reconduction de ces locaux. Pour finir, elles sont au bord de zones énergiques d’un point de vu des inventions architecturales : la bourgogne ( arc brisé inventé à le monastère de cluny, arc-boutants imaginés à cluny et vézelay ) , la normandie qui fait venir la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre. Lieu de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france assistent à les premiers maîtres moyenâgeuxs récapituler toutes ces influences.
La forme change dans le délai : à le gothique dit primitif ( xiie siècle ) succèdent en france le médiéval classique ( 1190 - 1230 aproximativement ) , puis le flamboyant rayonnant , pour conclure le flamboyant gothique ( xve / xvie siècle ). À la renaissance, la forme gothique évolue, sur le territoire français, vers une forme mulâtre d'architecture moyenâgeux et de décoration renaissance ( église saint Étienne du mont à paris ).
Son expansion topographique se fait principalement en europe occidentale et l'architecture gothique se divise en plusieurs variantes locales : moyenâgeux angevin, normand, perpendiculaire...
orientation
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le local du église était propre à une prière d'ensemble dirigée vers l'est. Car l'attente du soleil levant est un trait principal de la prière et de la spiritualité chrétiennes. à présent cette tradition est gardée dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie d'abord clarté et lumière inouï (. . . ) et selon st eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle chérissaient dieu la figure orienté vers le soleil levant. Le soleil montant est bien entendu très communément comparé à un volatile. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le lever de la journée, et nos clochers chrétiens emportent encore cet oiseau qui constitue la vigilance du âme en attendant la seconde débarquée du christ, l'apparition de l'imposante aurore1. Le coq étant fréquemment représenté grâce à les accessoires de la passion.