Le père paret : christian cabrol
histoire des grandes églises en france
D'unité et de constitution civile.
Au secteur de ces périls, par sa conduite à la croyances ferme et attentife, le roi sut retenir les prétentions cléricale dans du maximum favorables à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité du roi sur la féodalité. À partir de cette période nous voyons ces mise en places se ralentir, ou se terminer sans perdre de temps, à moins vaste échelle, et s'atrophier en quelque sorte. Les rares études des comptes montrent que les réserves faites par les prélats se étaient épuisées, communément en rachat d'immeubles à l'alentour des anciennes grandes églises, et dans le lancement de la construction du église. Celle-la, n’se trouvant plus nourrie que par des dons par ans et les excédents dégagés par les ressources du monde du évêque, ralentissait donc.
À l'aboutissement du xiiie siècle, les travaux de ces vastes réalisations tardivement sorties de terre n’arrivèrent pas à leur structuration final ; ils se éteignirent soudainement ; si les grandes églises furent terminées, ce ne fut plus que à l'aide des efforts personnels de évêques ou de chapitres qui utilisèrent leurs propres biens en vue de terminer ce que la foi et l'emportement de tout un peuple avaient permis de démarrer. Raréfiés sont les grandes églises qui aient été achevées comme elles avaient été projetées ; et cela se comprend : la période pendant laquelle leur vie est en quelque sorte une nécessité impérieux, le terme d'un désir irrésistible, est incluse entre les années 1180 et 1240. Soixante ans. Ce qui interloque maintenant, c’est qu'en un temps aussi petit on ait pu acquérir, sur un territoire aussi grand, des retombées aussi interloquants ; car ce n’était non seulement des stratégies qu'il a fallu découvrir, mais des milliers d'artistes qui, la majorité, étaient des individus dont le talent dans la réalisation des œuvre est pour nous maintenant un thème d'engouement.
À la mort de philippe-auguste, en 1223, les principales cathédrales -peu sont achevées- saisies en matière royal étaient celles de sens, de paris, de chartres, de bourges, de noyon, de laon, de soissons, de meaux, d'amiens, d'arras, de cambrai, de rouen, de Évreux, de sées, de bayeux, de coutances, du mans, d'angers, de poitiers, de tours ; or tous ces diocèses avaient rebâti leurs cathédrales, dont les constructions étaient fort avancées. Si beaucoup de diocèses sont politiquement mariés à le domaine du roi, et s'en concèdent vassaux, leurs cathédrales se élèvent vite sur des plans nouveaux, comme celles de la france; les diocèses de reims, de châlons, de troyes en champagne, sont les premiers à voir le mouvement. En bourgogne, ceux d'auxerre et de nevers, les plus proches du domaine royal, reconstruisent leurs cathédrales ; ceux d'autun et de langres, plus éloignés, entretiennent leurs anciennes paroisses élevées vers le centre du xiie siècle.
À le décès de charles v, en 1380, les britannique ne détiennent plus que bordeaux, le cotentin et calais ; mais la résine est surmenée : les cathédrales dont la restructuration n’a pas été débutée durant le xiiie siècle demeurent ce qu'elle étaient ; celles demeurées pas terminées se terminent avec peine.
architecture médiéval
Ce sont les italiens de la renaissance qui ont nommé gotico moyenâgeux ce genre originellement nommé francigenum opus , texto œuvre française, c’est-à-dire manière de bâtir en Île de france. Le mot gothique est manifestement exploité pour la première fois par l'artisan peintre raphaël vers 1518 dans un rapport à le souverain pontife léon x sur le maintien des monuments antiques : raphaël considère que les arcs en ogive de l'architecture moyenâgeux rapellent la courbure des arbres réalisant les cabanes primitives des citadins des espaces de verdures d'allemagne - un mythe qui refera surface chez les romantiques - et fait référence, de façon neutre, à l'art gothique du ve siècle, nommant en revanche le francigenum opus gothique sous le mot art tudesque1. Gothique est ensuite repris dans un sens négatif par le critique d'art giorgio vasari en 1530, effectuant lui référence à le sac de rome par les barbare goths. L'art flamboyant était donc le œuvre de sanguinaires pour les italiens de la renaissance, car il aurait résulté de l'oubli des techniques et des canons esthétiques gréco-romains. L'art gothique a aussi été fortement critiqué par des auteurs français tels que boileau, la bruyère ou jean-jacques rousseau, avant de devenir aménagés par des architectes comme francesco borromini ou jan blažej santini-aichel inventeur de la forme baroque flamboyant
les fonctions des églises catholiques et orthodoxes
D'après son avantage et son rôle, en régime catholique romain, une paroisse est :
- cathédrale ( adjectif et nom ) si elle est équipée d'une cathèdre, là où siège un prélat.
- primatiale si elle est siège d'un primat, prélat ayant une primauté sur les autres.
- basilique ( adjectif et nom )
- si elle est construite selon un plan à l'antique dit plan basilical.
- ou si elle fut fabriqué par un empereur.
- ou si elle a reçu ce titre spécial du souverain pontife de par son rôle d'endroit de pèlerinage.
- collégiale si, sans être cathédrale, elle est desservie par un e école de chanoines séculiers.
- paroissiale si elle est le siège d'une communauté de chrétiens.
- abbatiale ( nom et adjectif ) si elle est le église essentielle d'un monastère.
- priorale si elle est le église d'un prieuré.
à le monde orthodoxe oriental :
- une métropole est une cathédrale ( siège d'archevêché ).
- un catholicon est la paroisse essentielle d'un monastère cénobitique oriental.
- un kyriakon ( mot qui a offert kirche et church ) est le église primordiale d'une skite ou d'une laure.
- la principale église d'une agglomération, si elle n’est pas cathédrale, est nommée en grèce katholiki sans relation avec le catholicisme romain.
- le terme générique nommant l'ou les saint au ( x ) quel ( s ) le église est dédiée est le vocable ou la dédicace.