Le père paret : christian duguay
histoire des grandes églises sur le territoire français
D'unité et de développement civile.
Hors du domaine royal, le déplacement n’est pas, et ce n’est que bien plus tard, vers la fin du xiiie siècle, lorsque la royauté eut à peu près réuni les différentes provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la reconstruction des grandes églises. C’est alors que quelques diocèses subrogent leurs vieux locaux par des batiments récents élevées sur des plans sortis du domaine royal. Mais ce mouvement est limite, hésitant, et il s'arrête bientôt par suite des difficultés politiques du xive siècle.
À la mort de charles v, en 1380, les anglais ne détiennent plus que bordeaux, le cotentin et calais ; mais la résine est surmenée : les grandes églises dont la reconstruction n’a pas été commencée durant tout le xiiie siècle restent ce qu'elle étaient ; celles demeurées pas terminées se terminent avec peine.
Une église est un local théologique dont le but essentiel est de faciliter le regroupement d'une communauté chrétienne. Il s'agit de l'essentiel bâtiment de ce modèle du le église dans la christianisme. Les édifices qualifiés de chapelles sont souvent privés, comme la chapelle d'un château fort, ou destinés à une communauté théologique, par exemple une abbaye. La paroisse consiste en un local consacré à la prière et à les pratiques culturelles des catholiques. Particulièrement, la messe est, par exemple, dite dans une paroisse par le prêtre, dans le catholicisme et le culte orthodoxe. Dans le protestantisme, le même bâtiment ayant la même fonction est au niveau historique connu sous le nom du temple et non pas le église, le mot étant exclusivement retenu afin de nommer l'organisme, ou alors la communauté des chrétiens ( dans certaines cas exceptionnels, particulièrement dans l'atmosphère luthérien gouvernemental, le mot église est exploité pour désigner un local ).
orientation
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans toute l'europe chrétiens, le bâtiment du église était adéquat à une prière collectif dirigée vers l'est ( c’est ce qu'on a appelé l'orientation — il s'agit là de l'origine de ce terme ). Car l'attente du soleil levant ( signe du christ ressuscité ) est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Aujourd'hui cette culture est maintenue dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie premièrement lumière et lumière suprême et selon st eusèbe d'alexandrie, les chrétiens jusque à le ve siècle chérissaient dieu le visage orienté vers le soleil levant. Le soleil montant est d'ailleurs très fréquemment comparé à un volatile. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le lever du jour, et nos clochers chrétiens portent encore cet oiseau qui constitue la précaution de l'esprit en attendant la deuxième venue du christ, la naissance de la grande aurore1. Le coq est d'ailleurs en général montré grâce à les accessoires de la passion.