La paroisse du père paret : christiane singer
l'optimisation des grandes églises en france
Le dispositif du 17 avr 1906 et la loi du 4 juil 1912 ont remis la charge des 87 cathédrales à le secrétariat de État à les beaux-arts, devenu ministère de la culture et de la communication. Cette possession se couche à le tous les dépendances immobilières et à l'ensemble des logements par destination et des mobilier les garnissant. Le cadre juridique de l'agencement intérieur des cathédrales a été étudié par pierre-laurent frier, professeur à les études supérieurs de la capitale i , vieux directeur des études du École publique du patrimoine3 ; et le savoir faire du conseil municipal à propos des églises et à les biens qui y furent mis en place fut traitée par marie-christine rouault, doyen de la faculté des disciplines réglementaires, politiques et sociales de lille ii4 à le travers de l'arrêt du 4 novembre 1994 du conseil de État.
orientation
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le édifice de la paroisse était adéquat à une prière d'ensemble dirigée vers l'est. Car l'attente du soleil levant est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Aujourd'hui cette tradition est gardée dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie premièrement lumière et lumière extrême (. . . ) et selon st eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle adoraient dieu le visage tourné vers le soleil levant. Le soleil montant est d'ailleurs très communément comparé à un oiseau. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le lever du jour, et nos clochers chrétiens emportent encore ce volatile qui constitue l'attention de l'esprit en attendant la seconde venue du christ, la naissance de la grande aurore1. Le coq est d'ailleurs fréquemment représenté avec les accessoires de la passion.