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histoire des cathédrales en france
D'unité et de constitution civile.

À l'aboutissement du xiiie siècle, les travaux de ces immenses réalisations en retard sorties de terre n’débarquèrent pas à leur structuration final ; ils se éteignirent brusquement ; si les grandes églises furent achevées, ce ne fut plus que à l'aide des efforts personnels de prélats ou de chapitres qui employèrent leurs propres biens afin de clôturer ce que la croyance et l'emballement de tout un peuple avaient permis de commencer. Raréfiés sont les grandes églises qui aient été closes telles qu'elles avaient été projetées ; et cela se comprend : le époque durant laquelle leur quotidien est en quelque sorte un besoin impérieux, l'expression d'une envie irrésistible, est comprise entre les années 1180 et 1240. Soixante ans. Ce qui étonne à présent, c’est qu'en un temps aussi petit on ait pu obtenir, sur un territoire également grand, des résultats également étonnants ; car ce n’était pas seulement des tactiques qu'il a fallu trouver, mais des centaines d'artistes qui, la plupart, étaient des hommes dont l'aptitude dans l'exécution des œuvres est pour nous actuellement un domaine d'emballement.

En dehors du domaine du roi, le mouvement n’est pas, et ce n’est que bien plus tard, dans les alentours du xiiie siècle, lorsque la monarchie eut à peu près rassemblé toutes les provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la restructuration des grandes églises. C’est alors que certaines diocèses substituent leurs vieux monuments par des constructions récentes élevées sur des plans sortis du domaine du roi. Mais ce mouvement est restreint, hésitant, et il s'arrête bientôt par suite du fil à retordre politiques du xive siècle.






décoratif de l'architecture flamboyant

Même s'il est habituel de présenter l'architecture gothique par l'usage de l'arc brisé , on ne saurait réduire un style de l'architecture juste, ou tout autre art, à des caractéristiques spécifiques. Opposer le livre à le médiéval par l'utilisation du plein cintre ou qui était l'ogive est contradictoire et ne joue pas sens historiquement.









orientation
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le bâtiment de la paroisse était propre à une prière d'ensemble dirigée vers l'est ( c’est ce qu'on a connu sous le nom de la direction — il s'agit là de l'origine de ce mot ). Car l'attente du soleil levant ( emblème du christ ressuscité ) est un trait principal de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Maintenant cette culture est gardée dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie d'abord lumière et clarté inouï (. . . ) et d'après saint eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle avaient chéri dieu le portait tourné vers le soleil levant. Le soleil montant est bien entendu très fréquemment comparé à un oiseau. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le lever du jour, et nos clochers chrétiens emportent encore cet oiseau qui symbolise la vigilance de l'esprit en attendant la deuxième venue du christ, la naissance de la grande aurore1. Le coq est d'ailleurs souvent représenté grâce à les accessoires de la passion.